Libérer le marché des Seniors
Préparer lÂère du papyboom de 2005  2015 en appliquant dès aujourdÂhui une réforme digne de ce nom :
- valorisation de la compétence, quel que soit lÂâge et maintien de la productivité de façon flexible et volontaire.
- Faire sauter les verrous des plafonds "cumul pension- revenus dÂactivité"
- Promouvoir un nouveau cadre juridique de partenariat souple.
Préambule :
SeniorFlex constate que :
Trop de seniors, victimes de leur âge, sont sortis prématurément de la vie active avant lÂâge de la retraite, au détriment de lÂéconomie générale.
Selon le Ministre Vandenbroucke, 20.000 demandes de pension seraient immédiatement introduites, si on supprime les plafonds du cumul de revenus.
Ces pensions, aujourdÂhui dormantes, sont actuellement une non-dépense pour le gouvernement.
Tandis que l'activité professionnelle exercée à la place d'un départ en retraite rapporte de l'impôt et des cotisations sociales.
Oui, mais :
Les questions de SeniorFlex :
- A-t-on une idée, même vague, du nombre de retraités actuels qui reprendraient du travail si le gouvernement abolit ces fameux plafonds ?
- Peut-on dès lors calculer lÂimpact de ces nouvelles sources de revenus en matière de taxes et de cotisations sociales pour le gouvernement ?
- Peut-on quantifier lÂéconomie certaine en matière de soins de santé quÂune remise au travail génère de façon évidente ?
- Quel serait lÂimpact nouveau sur le PIB du pays ?
A tout le moins, il ne suffit pas de constater seulement une "dépense" possible, encore faut-il quÂelle sÂaccompagne de "recettes" pouvant atteindre lÂéquilibre budgétaire, voir la rentabilité de lÂopération. Ainsi en impose la loi de la comptabilité, "la" balance carrée.
LÂanalyse de Seniorflex :
A. Par rapport à lÂimpact politique à 2004 :
- De ces 20.000 nouvelles pensions suspectées par notre Ministre de tutelle, combien sont-elles dÂun niveau élevé ?
- combien dÂun niveau moyen ?
- et combien dÂinsuffisantes ?
Nul ne le dit, nul ne le sait vraiment.
Il apparaît à SeniorFlex que la majorité de ces pensions se situeront plutôt vers le bas de lÂéchelle. En effet, à part les plans de restructuration du Ministre de la Défense Mr Flahaut, où, depuis trois ans, et dès 54 ans, nos militaires sont mis à la retraite 1, ce ne sont pas les entreprises qui "pensionnent" leurs cadres supérieurs (pensions élevées). Elles se contentent de les remercier (i.e Belgacom), ce qui influe sur le taux des "demandeurs dÂemploi", non sur celui des pensions de lÂONP.
Dès lors, le budget "pension" de ces 20.000 nouveaux retraités que craint le Ministre Vandenbroucke ne saurait aujourdÂhui peser valablement dans la balance pour contrer les mesures dÂurgence qui sÂimposent dramatiquement, absurde conséquence du manque de décisions politiques en la matière depuis les gouvernements précédents.
Pour lÂheure, SeniorFlex constate que ces "nouvelles" pensions :
- ont été largement financées par leurs bénéficiaires.
- les leur verser ne devraient pas poser problème, ce serait tout simplement honnête.
- sont dues, et si payées, seront largement réinjectées dans l'économie , puisquÂil est dÂusage que tout pensionné dépense pour vivre, au lieu dÂaccumuler.
Freiner ou se cacher derrière ces "20.000 nouveaux pensionnés" ne serait que reculer lÂéchéance et ne pas se préoccuper sérieusement du problème aujourdÂhui. Si ces "demandeurs potentiels de pension" encore actifs rapportent de la TVA, des impôts sur le revenu et de la Sécurité Sociale, SeniorFlex prétend quÂen grande majorité, ils continueront à faire de même, une fois pensionnés........ pour autant quÂil y ait déplafonnement des revenus autorisés 2.
La philosophie politique actuelle (Fillon, Onkelinx, Vectorat etc.) consistant à favoriser  voire forcer - le maintien de lÂemploi senior en entreprise, est assez "punitive".
Elle deviendra donc très vite impopulaire et pleine dÂeffets pervers par :
- la démotivation des seniors, subissant lÂostracisme ambiant
- une mauvaise productivité
- un défaut dÂembauche par les entreprises qui ne veulent pas se faire "piéger"
- des conditions de travail mal adaptées et non flexibles, lÂemployeur étant "obligé" 3
- un harcèlement moral : il faudrait que les entreprises changent leur conception du travail senior.
- etcÂ
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.
B. QuÂen pense SeniorFlex :
Abandon nécessaire du "mécanisme" de la "retraite anticipée" pratiquée aveuglément lorsquÂune entreprise (privée ou publique) est en difficulté financière.
Cette mécanique, favorisée à outrance par nos gouvernements successifs comme "amortisseur économique" nÂa servi quÂà masquer le chômage, mais au prix le plus fort. 4
Les sommes cotisées par les vrais bénéficiaires de retraites, ceux qui ont cotisé pendant 35 à 45 ans, ont servi et servent encore à payer la dette du gouvernement envers un "chômage camouflé".
CÂest du vol, dÂautant que les dits gouvernements ne peuvent garantir le financement des retraites, à lÂaube du papyboom, alors que ceux qui en feront partie, ont été et restent les plus importants pourvoyeurs de fonds du paiement des retraites dÂaujourdÂhui !
Outre bien dÂautres conséquences néfastes, définies et expliquées par le rapport 2003 de lÂOCDE, continuer dans cette voie accroîtra le déséquilibre de la solidarité entre les générations .
Ceci éloigne nos responsables politiques de lÂobjet social quÂils ont largement étalé dans la dernière déclaration gouvernementale: Rendre la "mise à la retraite" flexible, tout en sortant dÂune culture de retrait précoce de lÂactivité. 5
Que lÂexpérience des années 1998 Â2000 nous serve de leçon !
Pour rappel, la Belgique souffrait alors dramatiquement du manque de main dÂÂuvre qualifiée pour "contrecarrer" lÂeffet du bogue de lÂan 2000. Jamais psychose ne fut plus répandue : seuls, les seniors avaient la compétence nécessaire pour comprendre la programmation en cause.
Que lÂEtat fasse donc preuve de bon sens en cette période de récession économique. Au lieu d'accepter que nos Seniors soient "virés" des entreprises, sous prétexte de restructuration  dÂéconomie dÂéchelle  et autres prétextes du genre, quÂil mette cette période noire à profit pour financer (et/ou aider à ) des programmes de formation afin que, dès lÂaube dÂune reprise économique, la main dÂÂuvre soit présente et prête à reprendre un rythme de productivité optimal.
Avec la pratique gouvernementale constante de la culture de retrait précoce de lÂactivité, le citoyen reste absent de toute relance économique puisquÂon lui a inculqué le droit de ne plus y participer. Nous pourrions appeler cela la formation à lÂincivisme supportée par nos responsables politiques.
SeniorFlex est dÂaccord avec lÂOCDE lorsque celle-ci prône la réforme totale du système de retraite belge et démontre en toute intelligence quÂil faut se reposer sur Â
..une neutralité actuarielle des choix de départ à la retraite ainsi quÂune liaison entre prolongation de lÂespérance de vie et modalités de départ à la retraite. Un départ précoce est assorti dÂune pension moindre et un départ tardif dÂune pension plus élevéeÂ
Â
. 6
Bon nombre de pensionnés actuellement passifs, se remettront en activité sÂil y a abolition des plafonds et conservation du droit au statut de pensionné.
Dans ses campagnes de sensibilisation, SeniorFlex rencontre et comprend que beaucoup de pensionnés (en général ceux qui ont dépassé le stade de goûter au plaisir nouveau de se laisser vivre ) reprendraient volontier du service.
Nous arrivons à les classer parmi les catégories suivantes et par ordre de priorité :
- Ceux qui ne peuvent vivre décemment avec leur pension, vu le coût de la vie et ses augmentations permanentes (le passage à lÂEURO a été durement ressenti par bon nombre dÂentre eux, la Bourse est en passage à vide et les avantages plafonnés de la retraite ne correspondent nullement aux pourcentages versés sur des salaires réels)
- Ceux qui désirent rester en activité pour leur image sociale, pour conserver leur esprit alerte, leur réseau de contacts et leur sens des affaires et pour se sentir utiles, servir au lieu de se sentir assistés .
- Ceux qui voudraient accorder maintenant plus dÂimportance à leurs goûts personnels que durant leur carrière professionnelle, développer une expertise parallèle, ou même changer dÂorientation en se lançant dans une direction différente (investissements, création et/ou support de PME).
- Enfin, ceux qui souhaitent que leurs revenus (pension comprise) correspondent mieux à leur aspirations et à leur mode de vie antérieurs, ce pourquoi ils se portent volontaires pour produire.
Il est aberrant pour un Etat de droit et une démocratie dÂimposer, sans autre recours que le travail au noir un mode de vie essentiellement différent de celui que le citoyen sÂest bâti par son labeur en 35 ou 40 ans!
Quels seraient les avantages pour lÂÃtat de cette productivité nouvelle ?
- Augmenter les revenus de la TVA, des impôts et des cotisations de Sécurité Sociale.
- Atteindre les objectifs chiffrés, fixés par lÂautorité européenne en matière de formation, et en matière de taux dÂactivité de seniors.
- Diminuer le coût des soins de santé, car les seniors actifs ont peu de temps pour être malades et il est montré statistiquement quÂils ne le sont pas, par effet psychologique.
- Réinjecter immédiatement dans lÂéconomie, les bénéfices retirés de cette activité, car les seniors nÂépargnent plus pour leur retraite, ils consomment.
- Gérer utilement les ressources en compétence, au lieu de forcer les entreprises à conserver des employés démotivés et donc improductifs. (NB : les seniors ne sont pas allergiques au travail comme tel, mais aux conditions de travail qui leur sont faites dans les entreprises !)
- Maintenir un savoir-faire et un apport à lÂamélioration des performances de lÂentreprise.
- Maintenir ou favoriser lÂinclusion sociale et la qualité de la vie dÂune partie importante de la population (33%)
- Eviter du travail "au noir", effectué sans contrepartie d'impôt ni de cotisation sociale !
- Prendre un virage sérieux en matière dÂallongement volontaire de carrière en mettant en exergue la valeur ajoutée des seniors flexibles, au lieu de devoir imposer le travail prolongé, de façon autoritaire et générale.
- Assainissement du nombre de faillites par un encadrement plus expérimenté des jeunes entrepreneurs.
- Augmentation du nombre de PME, créatrices dÂemploi.
Que doit faire lÂÃtat pour aider à cette reprise ou à ce maintien du travail pour les Seniors de plus de 45 ans ?
- Poursuivre, accélérer surtout, la promotion de lÂemploi des travailleurs âgés 7 auprès des entreprises.
- Entreprendre sans tarder des actions publicitaires dÂenvergure afin de changer les mentalités et lÂopinion publique, à propos de la valeur ajoutée des Seniors qui désirent rester actifs.
- Intégrer une politique non conflictuelle entre soins de santé, chômage et pensions afin que chaque organe social conserve son objet réel et ne soit pas utilisé en remplacement
- Tenir compte des Seniors de plus de 45 ans dans le programme gouvernemental visant aux 200.000 emplois supplémentaires au cours de la présente législature. 8
- Ne pas se replier uniquement sur lÂexistence du Fond de vieillissement. DÂabord, ce dernier ne fut mis en place quÂen 2001 , ensuite il nÂest alimenté que par les marges budgétaires dégagées par la diminution de la dette publique et des charges dÂintérêts (ce qui à lÂaube de 2004 et selon les résultats de croissance engendrés en 2002 et 2003, relève plutôt de lÂhypothèse dÂécole que de la réalité) 9
Quels seraient les avantages civiques ressentis par nos concitoyens ? Devant la démotivation généralisée, un mal belge comme le nomme lÂOCDE 10
prendre le problème à bras le corps , légiférer avec efficacité cette fois et dans les plus brefs délais afin de mettre en application les mesures préconisées, amèneraient :
- un espoir pour les populations concernées,
- la fin dÂune inégalité odieuse devant la loi entre citoyens: Pourquoi un militaire en retraite à partir de 45 ans, un policier ou un cheminot en retraite à 50 ans, un homme politique, un pompier, etcÂ
peuvent-ils travailler sans limite de cumul ? Pourquoi cette facilité ne sÂapplique-t-elle quÂà des secteurs publics ou assimilés ?
- une nouvelle performance sociale à mettre au crédit du pouvoir par lÂamélioration des conditions de vie de petits retraités dont les revenus de retraite avoisinent le seuil de pauvreté.
- une solution souple et flexible pour les entreprises en manque de compétences. Le creux démographique qui sÂannonce dans les deux ans à venir, initiera un manque de compétences jeunes pour les entreprises. Elles pourraient trouver compensation chez les seniors, qui, mettant à leur disposition une source de compétences forgée par lÂexpérience, seront en mesure de mieux garantir leur bonne marche.
- lÂeffacement de la mauvaise image de plan sociaux et les agitations sociales correspondantes
- une image valorisante du travail et nouveau dynamisme des volontés. AujourdÂhui lÂÃtat encourage le non-travail et la vie au crochet du contribuable, ce qui ne peut durer.
- des rentrées financières qui retourneraient au développement du pays. (et éviterait lÂextension du travail au noir)
- les retraités qui le désirent resteraient dans la vie active, donc amélioreraient leur mental (redenir utile à la société et ne plus se sentir écarté et assisté nÂest-il pas plus valorisant pour tout le monde ?)
- une amélioration de leur état de santé et une diminution des soins de santé, gros consommateurs de budgets également. Les statistiques montrent que les seniors actifs consomment deux fois moins de médicaments que les autres et que les dépenses de santé sont décuplées dans les 5 dernières années de vie.
Conjointement à lÂaction de lÂÃtat et avec son concours, que faut-il entreprendre pour mettre en place et favoriser cette nouvelle productivité ?
Il importe en effet de porter les efforts à la fois dans et à lÂextérieur de lÂentreprise en mettant en place :
- Une campagne de valorisation 11 des compétences, du savoir faire et de lÂexpérience des Seniors, qui combatte les préjugés irrationnels des entreprises, des décideurs, des Administrations et de lÂopinion publique.
- Une définition Senior compétence et non plus Senior âge : lÂactivité senior dépend de leur compétence, non de leur extrait dÂacte de naissance. Imposer lÂarrêt dÂactivité à 65 ans, cÂest dépassé et arbitraire. CÂest du gaspillage! Laissons - leur le choix et la flexibilité!
- Un cadre juridique porteur, simple et flexible, permettant une réponse immédiate et adaptée à la demande : Le Partenariat Senior contrat suggéré par SeniorFlex permettant le passage inter-statuts, sans risques et sans formalités (indépendant, salarié, enseignant, formateur professionnel, fonctionnaire, temps partiel - plein temps, actif - inactif,Â
)
- des incitants sociaux et fiscaux pour les entreprises qui engagent des seniors, pour que les résultats financiers soient immédiats. SÂagissant dÂune productivité nouvelle, additionnelle, dont lÂéconomie belge sÂest privée jusquÂici, on pourrait par exemple, alléger les cotisations prélevées pour le chômage ou la pension. Ces incitants sociaux et fiscaux doivent être assurés à toutes les parties et pas seulement limités aux entreprises qui utilisent un contrat de travail traditionnel.
- une approche dÂentreprise par la réalisation d'analyses de la situation dans leurs environnements. Prodiguer des conseils en Ressources Humaines (RH) en gestion des carrières seniors, en placement des seniors, en formations de transition ...le tout financé par lÂEtat, voire lÂEurope, les collectivités et lÂentreprise elle-même.
- une motivation nouvelle pour les Associations professionnelles (Medef, Feb, DRH et autres formateursÂ
) dÂinformer utilement les Seniors et les entreprises.
-
cadre dÂactivité senior dans les entreprises, plus flexible et plus productif, et pourquoi pas, moins coûteux pour l'employeur.
- une combinaison harmonieuse entre la modernité technique des jeunes et lÂexpérience variée et multiple des Seniors visant à une meilleure productivité, et à une crativité nouvelle.
Mettre fin au préjugé habilement cultivé par ceux qui ont voulu mettre les jeunes au travail à la place des seniors, au lieu de tenter dÂy garder tout le monde en parfaite harmonie:
-
NON, un senior n'empêche pas un jeune de trouver sa place dans le monde du travail.Leurs compétences ne sont pas interchangeables, mais complémentaires
- Au contraire, c'est le senior qui soutient le jeune dans un accès au travail plus facile. Il lÂalimente de son expérience et de son carnet dÂadresses.
- Eviter de lier les barèmes uniquement à lÂancienneté et/ou à lÂâge, mais également tenir compte du savoir faire, des acquis professionnels et de lÂencadrement des plus jeunes. Ces barèmes doivent être considérés comme non-applicables pour des seniors qui désirent travailler dans un cadre flexible et précaire. Le coût de leur intervention doit être en relation directe avec leur compétence et leur productivité personnelle.
- Favoriser parallèlement lÂactivité senior hors entreprise en accélérant la formation professionnelle via des programmes ad hoc dÂaccompagnement, dÂenseignement, de consultance, etc Â
. Les sociétés dÂintérim ont un rôle à jouer en la matière et lÂexemple irlandais (TRED) est à suivre (programme national de validation des acquis de lÂexpérience, dans lequel les Banques, les Universités et le Gouvernement unissent leurs efforts pour adapter les compétences des Seniors à la vie active hors entreprise.
Le rôle de SeniorFlex :
SeniorFlex est disposée à coopérer à toute action :
- de campagne de valorisation des compétences, du savoir faire et de lÂexpérience des Seniors, qui combattent les préjugés irrationnels des entreprises, des décideurs, des PME, des Administrations et de lÂopinion publique
- dÂorganisation de véritables Forums dÂinformation de haut niveau sous le patronage officiel du Gouvernement, avec des intervenants variés, reconnus et de grande compétence pour sensibiliser lÂopinion.
- d'études ou de think tanks qui recherchent des solutions positives aux phénomènes démographiques du vieillissement et de l'allongement de l'espérance de vie.
La nécessité dÂopérer un véritable retournement de lÂopinion publique en Belgique pour réduire lÂécart existant entre elle et lÂEurope nÂest plus discutable.
- Il faut ouvrir la voie des Seniors actifs lucratifs.
- SeniorFlex recommande dÂopérer dÂurgence, la flexibilité est à ce prix.
- LÂOCDE et le FMI recommandent tous deux une aaction coordonnée des départements ministériels concernés, pour prendre des mesures énergiques, efficaces, positives, logiques et à très court terme, dans la simplification, la transparence et la concertation.
- Avoir un vrai plan gouvernemental dÂensemble, avec lÂaide des Seniors et non sans eux, plutôt que des mesures éparses et minimes qui laissent tout le monde indifférent.
Ne remettons pas à demain ce quÂil faut quÂon fasse aujourdÂhui, il est grand temps.
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1. A noter que ce sont souvent des officiers supérieurs hauts gradés et qui travaillent directement dans le civil, vu que les plafonds ne les concernent pas!
2. LÂindemnité dÂadaptation (une annuité) et la pension de survie des veuves qui conservent leur emploi, doit être ré-instaurée immédiatement ! Employées ou non, elles sont toujours veuves !
3. On a vu ce que les plans Rosetta et autres ont donnés comme résultats pour les jeunes. Il nÂy a pas de quoi être fier dÂune réussite sans précédent.
4. Lire rapport OCDE 2003 page 11 et suivantes : une mise à lÂécart des travailleurs de plus de 50 ans. Nécessité dÂinverser cette tendance.
5. OCDE 2003 page 14.
6. OCDE 2003 page 16 : Ce quÂil faudrait envisager en BelgiqueÂ
Â
7. OCDE 2003 page 19 et suivantes : stratégie préventive du gouvernement belgeÂ
.. auprès des entreprises.
8. OCDE 2003, page 38 : en 2000, la population active en Belgique ne recense que 4.410.400 individus, ce qui représente déjà moins de la moitié de la population totale du pays. Ce qui , vu le babyboom de lÂaprès guerre à 1970, va générer un accroissement brutal de la population non active à partir de 2010. Les effets négatifs sÂen feront sentir jusquÂen 2035 selon lÂétude de lÂOCDE (page 36).
9. OCDE 2003 page 42 Marge de manÂuvre pour faire face à ces défisÂ
.
10. Page 49 : inactivité : Ce qui est frappant et qui semble un mal belge, cÂest le sentiment de découragement particulièrement répanduÂ
Â
11. Equivalente à celle orchestrée par les pouvoirs publics en matière de circulation routière et respect des vitesses.
Commentaires
1. Le mercredi 05 avril 2006 à 11:46, par CDM
2. Le jeudi 24 mai 2007 à 11:39, par Filip Monbaliu
3. Le vendredi 07 décembre 2007 à 20:40, par REMY
4. Le mardi 22 janvier 2008 à 19:18, par BENINI
5. Le mercredi 30 janvier 2008 à 11:24, par michel demarbaix
6. Le lundi 03 mars 2008 à 17:39, par MICHEL
7. Le mardi 15 juillet 2008 à 11:49, par Loiseau
8. Le mercredi 26 novembre 2008 à 18:12, par gohy jackie
9. Le dimanche 18 janvier 2009 à 19:03, par Lemmens Laurens
10. Le jeudi 22 janvier 2009 à 20:50, par gegenys
11. Le samedi 07 février 2009 à 09:57, par Di Tursi M.
12. Le jeudi 04 juin 2009 à 13:17, par Ghyoot
13. Le samedi 25 juillet 2009 à 15:25, par Alobet
14. Le jeudi 15 octobre 2009 à 11:16, par vancassel
15. Le jeudi 11 février 2010 à 10:52, par dominique
16. Le jeudi 18 février 2010 à 16:24, par JOHN DELANCKER
17. Le samedi 20 février 2010 à 18:06, par Guy PHILIPPART
18. Le mardi 02 mars 2010 à 17:54, par JM
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